Périégèses

(tours de mondes) Saison 2

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Tiresias le périégète
Le site web

La philosophie du site :

"Chiant qui comme Ulysse..." écrit Debureaux dans son ouvrage intitulé : De l'art d'emmerder les gens en racontant ses voyages
Soyons modestes : il est probable que nous tomberons souvent dans ce travers mais essayons au moins de nous fixer quelques règles :

1. Dire ce que l'on voit et non pas ce que l'on aurait voulu voir. Ne pas embarquer d'idées reçues comme supplément de bagage, comme par exemple :
- Les généralisations : les Ceci sont hospitaliers, les Cela sont gentils mais trop flegmatiques, les flics sont véreux, etc.
- La louange mièvre et systématique : "Les gens de ce pays sont tous formidables. D’ailleurs nous avons été invités à prendre le ...."
- A l'inverse, les propos désobligeants, voire injurieux : "Ce type est complètement idiot. Il ne comprend rien à ce qu'on lui dit. Allez, au revoir, abruti. Ah ! Tu vois bien qu'il ne comprend rien !" (lu vraiment sur un blog)

2. Écrire et non pas décrire. Pour cela, livrer des impressions plutôt que des descriptions. Ne pas se refuser la subjectivité. Sans prétention, un bon journal de voyage doit être "engagé".

3. Être utile. Les meilleurs blogs(il y en a d'excellents dans notre liste de liens) fournissent de vraies informations, qui sont autant d'aides aux voyageurs suivants : bons bivouacs, état des routes, passages de frontières, coût de la vie, connexions Internet, astuces diverses,...). Nous ferons de notre mieux pour les imiter.

L'architecture du site :


Le principe de base de periegeses.net consiste à séparer le texte des images. On ne trouvera pas ici la traditionnelle page illustrée (photo à droite et texte à gauche, ou l'inverse, ou dessus, ou dessous...)
mais trois parties distinctes :

1. Des nouvelles : le bloc-notes (dernier billet en forme d'édito et accès à tous les billets précédents) et l'itinéraire sous forme de carte interactive (accès au bloc notes, aux images, et aux informations en cliquant sur un point du parcours suivi). Les billets seront signés "Michel" ou "Lucile".
2. Des images : des photos, un diaporama commenté, que l'on peut laisser défiler, mettre en pause, relancer (le commentaire s'affiche en dessous de chaque image), des petites videos, et des sons enregistrés (qui a dit que les sons ne sont pas des images ?)
3. Des infos : des fiches pratiques sur chaque pays traversé, la liste de tous les bivouacs, et aussi une rubrique "pépites et pépins" (le titre parle de lui-même)
La rubrique "Divers" constitue le traditionnel fourre-tout de ce qui ne serait à sa place dans aucune des trois cases précédentes.

Cette composition vaut ce qu'elle vaut et l'internaute en pensera ce qu'il voudra. Du moins est-ce un peu différent.

Pour finir, un peu de technique :

Periegeses.net n'est pas un blog.
J'ai décidé de mettre à profit mes premiers mois de retraite pour me replonger dans les joies de la programmation en html, afin de construire, modestement mais avec volonté, mon propre site web.
Comme au temps de mes premiers pas, dans les années 90, je n'ai eu recours à aucun autre outil que le bloc-notes.
Toutes les pages sont donc faites à la main et cuites au feu de bois.
Dans tout le site, il n'y a qu'une seule ligne en javascript. J'ai été obligé de recourir à cette béquille pour afficher les cartes de Google maps.
A part cela, j'ai pu gérer tous les types d'affichage en recourant simplement aux derniers développement du html : code source en html5 et feuilles de style en css3.
Les pages en php font appel à une base de données mysql classique.
J'ai été bien aidé et me suis souvent inspiré des cours en ligne du Site du Zéro (fr.openclassrooms.com) et d'Alsacréations (www.alsacreations.com/).
Pour le "caroussel" d'images, je suis parti d'une idée de Geoffrey Crofte (www.creativejuiz.fr/) que j'ai modifiée pour l'adapter à un plus grand nombre de photos. Il me reste d'ailleurs un petit bug que je n'arrive pas à corriger dans l'affichage des bulles en bas de page. Si Geoffrey passe par là ou si quelque visiteur plus calé que moi a une idée de correction, je suis preneur.
Michel